Table des Matières

• Avec Victor Hugo: plantons un arbre de la Liberté!
• La JOLIBERTÉ
• Le Village Perdu au flanc d'un vallon…
• Le Cheval de Troie des spéculateurs fonciers
• Les Poubelles du Val d'Ysieux !
• Gérard de Nerval, poète du Valois
• Attention: Super-Communauté = Perte d'indépendance !
• Bientôt banlieusards ?
• Téléphones du Val d'Ysieux

Plantons un arbre de la liberté.
Victor Hugo: "L'Arbre".

			
Notre Association
a l'intention de planter cet automne Trois Arbres de la Liberté pour commémorer l'année où notre Collectivité a perdu son chemin de Lassy au Plessis-les-Vallées, pourtant inscrit au POS et au Cadastre et que nous appellerons désormais: "Le Dernier Chemin pour les Anciens"; chemin perdu suite à une action de Justice (Ceci sans commentaire, C'est notre "droit d'se taire"!).


La Nature…

La terre est de granit, les ruisseaux sont de marbre;

C'est l'hiver; nous avons bien froid. Veux-tu, bon arbre,

Être dans mon foyer la bûche de Noël?

— Bois, je viens de la terre, et, feu, je monte au ciel.

Frappe, bon bûcheron. Père, aïeul, homme, femme,

Chauffez au feu vos mains, chauffez à Dieu votre âme.

Aimez, vivez. -- Veux-tu, bon arbre, être timon

De charrue? -- Oui, je veux creuser le noir limon,

Et tirer l'épi d'or de la terre profonde.

Quand le soc a passé, la plaine devient blonde,

La paix aux doux yeux sort du sillon entr'ouvert,

Et l'aube en pleurs sourit. -- Veux-tu, bel arbre vert,

Arbre du hallier sombre où le chevreuil s'échappe,

De la maison de l'homme être le pilier? -- Frappe.

Je puis porter les toits, ayant porté les nids.

Ta demeure est sacrée, homme, et je la bénis;

Là, dans l'ombre et l'amour, pensif, tu te recueilles;

Et le bruit des enfants ressemble au bruit des feuilles.

— Veux-tu, dis-moi, bon arbre, être mât de vaisseau?

— Frappe, bon charpentier. Je veux bien être oiseau.

Le navire est pour moi, dans l'immense mystère,

Ce qu'est pour vous la tombe; il m'arrache à la terre,

Et, frissonnant, m'emporte à travers l'infini.

J'irai voir ces grands cieux d'où l'hiver est banni,

Et dont plus d'un essaim me parle en son passage.

Pas plus que le tombeau n'épouvante le sage,

Le profond Océan, d'obscurité vêtu,

Ne m'épouvante point: oui, frappe. -- Arbre, veux-tu

Être gibet? -- Silence, homme! va-t'en, cognée!

J'appartiens à la vie, à la vie indignée!

Va-t'en, bourreau! va-t'en, juge! fuyez, démons!

Je suis l'arbre des bois, je suis l'arbre des monts;

Je porte les fruits mûrs, j'abrite les pervenches;

Laissez-moi ma racine et laissez-moi mes branches!

Arrière! homme, tuez, ouvriers du trépas,

Soyez sanglants, mauvais, durs; mais ne venez pas,

Ne venez pas, traînants des cordes et des chaînes,

Vous chercher un complice au milieu des grands chênes!

Ne faites pas servir à vos crimes, vivants,

L'arbre mystérieux à qui parlent les vents!

Vos lois portent la nuit sur leurs ailes funèbres.

Je suis fils du soleil, soyez fils des ténèbres.

Allez-vous-en! laissez l'arbre dans ses déserts.

A vos plaisirs, aux jeux, aux festins, aux concerts,

Accouplez l'échafaud et le supplice; faites.

Soit. Vivez et tuez. Tuez, entre deux fêtes,

Le malheureux, chargé de fautes et de maux;

Moi, je ne mêle pas de spectre à mes rameaux!



Victor Hugo "Les Contemplations"

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/IDENT contemplA//IDENT_AUTEURS hugov//IDENT_COPISTES 
roulleauj//ARCHIVE http://www.abu.org///VERSION 2//DROITS 0//TITRE Les 
contemplations, tome premier//GENRE vers//AUTEUR Hugo, Victor//COPISTE Jean-
Christophe Roulleau-Gallais (jgallais@arcadis.be)//NOTESPROD - Cinquième 
édition (1858)

Version du 16/05/1997

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Ma liberté je t'ai perdue

 Au travers des quartiers miteux

 Aux murs salis calamiteux

 Comme une pensée défendue



Au travers des quartiers miteux

Fuyant les foules éperdues

Comme une pensée défendue
 
Fuyant tes parfums capiteux



Fuyant les foules éperdues

Ceux qui te gardent tout pour eux

Fuyant tes parfums capiteux

Ma liberté qui m'était due



Ceux qui te gardent tout pour eux

D'eux tu n'auras plus dépendu

Ma liberté qui m'était due

Car au long des chemins herbeux

Je t'ai trouvée ma liberté

Ma JoLiberté !

Le Village Perdu au flanc d'un vallon…

Il était une fois, dans les années soixante, à quelques lieues de Paris, un village oublié bien à l'écart des grandes routes de Senlis et Beauvais…


On l'atteignait par un chemin vicinal cahoteux; et c'était enchantement, sortant des noirceurs capitales et des miasmes des routes que de le découvrir sur sa colline, dominant verte vallée aux flancs boisés. A l'horizon des lisières des forêts de Coye et de Chantilly, se chauffait un hameau sorti à peine du XIXème siècle sous ses toits vieillis aux tuiles de Beauvais, dans ses murs de calcaires mêlés de grès aux joints largement beurrés de ce plâtre farci de charbon de bois, cuit aux fagots de Survilliers et dur à pluie battante tel enduit de ciment.


C'est là qu'aux frondaisons douces à Nerval, 
 nous avions choisi, parmi les maisons, de relever des ruines une bâtisse assez peu typée. Là, nous avions résolu d'enseigner à nos enfants la Liberté. Loin des foules hostiles et de leurs bousculades, il faisait bon prendre la main de nos poupons sur le chemin rural de Jagny, le chemin d'Août, celui des Vignes ou les Cavées de Bellefontaine et du Plessis. Loin des contraintes sociales et des vacarmes civilisés, remplissant nos poumons des vents chargés d'embruns courus de l'océan, et pourtant si près des banlieues surpeuplées, nous goûtions notre liberté, notre "JoLiberté".


Entraînant les enfants d'école et créant l'enthousiasme chez les adultes les plus doués, nous organisions des journées entières de défrichage des chemins perdus et la replantation des haies décimées par la graphiose de l'Orme.


Un jour, un "Marquis de Carabas de Grande Banlieue" 
 avait comblé subrepticement, sans autorisation aucune et par surprise, à force de semi-remorques de gravats plâtreux, la moitié Nord de la Cavée du Plessis; et nous, soutenus par des maires, nous défrichions et replantions le "Dernier,Chemin du Plessis pour les Amoureux" pour empêcher le Carabas d'obstruer le reste.


Tous les chemins ruraux étaient accessibles
 mais, parfois, ils traversaient les pâturages alors peuplés de bœufs d'embouches nombreux et de vaches laitières. Alors, il fallait, comme c'est l'usage en pays d'élevage, refermer derrière soi le barbelé, gardant le bétail de divaguer. Ainsi en était-il du Chemin du Plessis à Lassy.


Il était né, au Plessis-les-Vallées, une association scolaire: "S.O.S. Sylvies" concernant plusieurs écoles dont le lycée voisin. Des adultes, désireux d'appuyer leurs revendications d'environnement sur une structure juridique constituée, se l'approprièrent.


Notre association était favorable
 (sous expresse réserve expliquée plus tard) à l'implantation d'un golf sportif; c'est même elle qui en avait inventé l'idée. Il faut bien reconnaître qu'en 2005, un tiers de siècle après le "Chemin des Amoureux", encore que le réseau des chemins ruraux traversant le golf reste propriété communale, il n'est plus guère possible d'y connaître la "JoLiberté" de ceux qui marchent dans la nature. Propulsée à 200 km/h, la balle du golfeur est mortelle. Certains même se sont plaints d'être interpelés par des joueurs. Tonalité: "Je suis assuré; alors tant pis pour vous, vous l'aurez cherché!".


Notre liberté nous a été confisquée! 
 Désormais parqués dans un village dont les ruelles antiques ignorent les trottoirs et que des hystériques traversent à vitesse folle, les parents désormais vieillis ne peuvent plus combattre leur sédentarité en marchant au plein air. Ah! Pardon! Il nous reste le Chemin de Lassy au Plessis.

Eh bien! Justement pas: une série de propriétaires se sont succédé à la Ferme Saint Martin. Certains d'entre eux ont pris l'initiative d'accabler l'actuelle municipalité(2V-1)  de procédures que notre Maire a subies courageusement mais aux dépens de sa santé. D'aucuns, cette fois, nous ont pris le "Dernier Chemin du Plessis pour les Petits Vieux".


Dans ces conditions, j'ai choisi de marquer mon admiration et ma gratitude à cette personne qui lutte, en dépit d'hostilités inattendues tapies jusque dans son voisinage pour faire face aux procès qu'on lui a imposés.

Sous réserve, j'approuve également sa modération à l'égard du golf malgré qu'il n'ait pas assumé ses obligations de protection des randonneurs. Ceci parce qu'il y a provisoirement urgence à sauvegarder la santé financière d'un établissement sportif si on souhaite ne pas l'aider à se transformer, comme ça s'est vu pas très loin, en une termitière immobilière.
 Mais quand même...

2V-1.-↑ Municipalité de Mme Ginette T.

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S.O.S Val d'Ysieux: Le Cheval de Troie est dans nos murs!

Lorsque les Grecs assiégèrent Troie, il leur fut impossible d'investir la cité. Pour l’envahir, ils imaginèrent une ruse le "Cheval de Troie". Feignant de se retirer en abandonnant sur la plage un immense cheval, ils se cachèrent aux environs. Les Troyens tirèrent le cheval comme un butin triomphal au cœur de leur ville. Mais, la nuit venue, des assaillants en sortirent et ouvrirent les verrous de la cité qui succomba par ruse.


Notre Association n'était pas contre un "golf sportif"; elle l'avait même suggéré. Lorsqu'un golf fut installé ici, cependant, elle avait demandé qu'un contrat soit négocié entre l'entrepreneur et les communes pour éviter que cet espace ne devienne une réserve foncière pour des lotissements de l'An 2000. Les municipalités répondirent que c'était impossible car "l'activité immobilière" était déjà inscrite aux statuts de la société. Ce qui fut vérifié exact. Aucune municipalité ne s'en inquiéta davantage.


Aidés par quelques maires, certains conseillers ou députés, et par deux Ministres de l'Environnement Brice Lalonde et Yves Cochet,
 les écologistes du Val d'Ysieux, après un tiers de siècle de combats, obtinrent une victoire provisoire le "classement". Après d'immenses sacrifices de temps et d'argent, les militants actifs gagnèrent (ils "vous" gagnèrent) une protection des espaces encore verts aux environs grâce à la loi du 2 mai 1930. Dès lors, impossible de construire sur le "site classé" fin de l'épisode "golf immobilier" et autres projets! (Eh là! Ne vous endormez pas sur vos lauriers...)


Désormais, chacune de vos habitations a gagné de la valeur.
 Vous pouvez indiquer à la vente "A vendre maison d’habitation dans village tranquille au milieu d'un site naturel protégé". Outre la joie de vivre dans un coin naturel et de léguer à vos descendants des espaces de verdure, votre patrimoine s'est valorisé sans que vous ayez rien à faire.


Autres protections certaines zones des communes sont protégées par des POS (ou PLU) ND, NC. Un périmètre protégé entoure l'église du village. Un parc régional Oise-Pays de France lutte contre le "mitage par la cabanisation" de ceux de nos espaces qu'il englobe.


Supposons maintenant que les menaces prévues
 par ceux qui craignaient les lotissements spéculatifs se précisent. Par exemple, une société éprouvant des difficultés financières pourrait profiter d'un prétexte pour réclamer une dérogation pour couvrir notre colline d'immeubles. Des propositions d'achat afflueraient qui viendraient de gros capitalistes étrangers. Là où des Japonais auraient respecté la loi du "2 mai 1930", des Irlandais moins respectueux, proposeraient peut-être une corne d'abondance pourvu qu'on les autorise à construire d'immenses lotissements. N'importe quel spéculateur immobilier de moyenne envergure pourraient sauter sur l'opportunité d'une faille dans le système de zone protégée!


Que faire, lorsqu'on est un entrepreneur désireux de gagner de l'argent facile sur un des derniers espaces verts de la Région Parisienne, si ce paysage est protégé par un décret écologique? Profiter de l'introduction d'un "Cheval de Troie" dans le système pour l'exploser. Le principe en est même d'apparence... "républicaine" "Liberté, Egalité..."  Les uns étant toujours plus égaux que les autres, les riches investisseurs écraseraient aisément ces gêneurs d'écologistes. Surtout que parmi les prolétaires, les capitalistes ont leurs alliés. Toujours des alliés inattendus, les petits spéculateurs sont quelquefois plus teigneux que les gros et leur servent de chiens d'attaque! Et les "tribuns de bistrot de village", drapés dans leur générosité de pacotille, sont toujours prêts à se vêtir de leur toge de faux-généreux pour servir aux convoiteurs sur un plat d'argent, une "Nature" qui ne leur appartient pas, qui ne leur coûte pas cher, qui ne leur coûte rien et dont, les pieds dans leurs pantoufles devant le film à la télé, ils se soucient comme d'une guigne.


"Ce qu'on accorde à Pierre, on ne peut le refuser à Paul". Tel est le principe de ce cheval de Troie pseudo-républicain. Le devoir d’une municipalité étant de défendre le bien collectif en se faisant gardienne des espaces protégés (par le POS, la "loi du 2 mai 1930", le Parc Régional...), il suffira donc d'obtenir d'elle une seule défaillance. Qu'elle autorise un copain de Pierre ou de Paul à bâtir en zone protégée désormais, on verra défiler par légion dans toutes les mairies du Val d'Ysieux la longue théorie des "permis de construire". Et sur le thème "Pourquoi pas moi!". D'abord le "petit spéculateur foncier", du type de celui qui s'infiltre au conseil municipal d'une localité pour bâtir cinq pavillons. Puis le "moyen spéculateur". Même ritournelle égalitaire. Puis le géant international qui chiffre maisons et appartements par centaines ... Niveau population quelques rares propriétaires terriens peu scrupuleux en profitent les autres trinquent; notre génération et toutes les autres.


Tel est le fonctionnement du Cheval de Troie immoblier: un seul suffit. Soyez judicieux. Sachez où est la vraie générosité. Guettez les attitudes de "posture" que se donnent des "Chevaliers Bayard de Grande Banlieue"  cherchant à se faire passer pour des défenseurs de Jésus, Marie, Joseph et de leur crèche et qui ne sont, en vérité, que des "agents" plus ou moins conscients des spéculateurs immobiliers, parfois d'énormes investisseurs étrangers. Là est le mérite d'une Municipalité actuelle qui défend le patrimoine naturel où survivront vos enfants malgré la hargne méchante des convoiteurs qui, une fois installés, n'auront de plus pressé que de partir en faisant la culbute! "Belle maison dans un site classé...!". D'autres ont fait trente ans d'effort pour sauver un bout de verdure "Nous autres, on va se la goinfrer la verdure car nous, la Nature, on l'aime!"


Et votre patrimoine? Noyé dans l'abondance relative des logements, entouré désormais de cette banlieue hétéroclite et violente que vous avez quittée à grands frais pour chercher à respirer la verdure et la paix, votre patrimoine a perdu sa valeur.

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Les Poubelles du Val d'Ysieux !

	
Le Val d'Ysieux était-il destiné à devenir
la poubelle de Paris?

La liberté d'entreprendre, pour les individus, doit être impérativement préservée dans la Cité. Car si certains sont, corps et âme, prêts à se dévouer à la communauté, d'autres ne peuvent épanouir leur génie que si leur intérêt personnel est privilégié. Pour autant, la liberté individuelle ne prime-t-elle pas le droit. Nous l'allons montrer maintenant sur un douloureux exemple local.


Nos coeurs ne devraient-ils pas déborder d'allégresse pour ceux qui empêchent nos poubelles de déborder?

Il était une fois, dans les années soixante-dix, un vert paradis où cerfs et biches se rassemblaient pour le brame. Sortant des bois de la Goulette, de Champlâtreux, du Tremblay, de Jagny et de sa Garenne, des Bois de Châtenay, du Corbé et de l'Alix; échangeant encore leur sang avec les hardes de Chantilly au travers d'une N322 qui n'était encore pas fermée par un mur de béton, jusqu'au travers des remises du versant Nord du val Bois de Saint-Thaurin, du Gouy, des Brillants, de la Garenne de Bellefontaine et des remises à Budin et à Maréchal, les cervidés bramaient comme aux siècles passés aux vallons de Lassy, le soir s'abreuvant aux fontaines des Prés de Jagny et à la Sainte Geneviève du Petit-Paris.


Dans les années soixante-dix, un dépôt d'ordures (inertes) fut autorisé entre le Bois Alix et Les Boulins, barrant le flanc Ouest du vallon et y imprimant une morphologie artificielle en place des pentes façonnées par l'éternelle érosion. Bientôt pourtant, jour et nuit, des fumées s'en échappèrent, poussées vers le village par des vents dominants de Sud-Ouest. Acres, étouffantes, écoeurantes, mêlant aux relents de vomissures ceux de l'huile brûlée, imprégnant le linge accroché à sécher en plein air, elles étaient obsédantes,  confisquant à chacun l'air pur venu de l'océan.


Je retournais d'un long service militaire national en Algérie,
 mes pauvres économies étant passées dans l'achat, au coeur du village, et dans la restauration d'une maison presque ruinée; ayant contracté des emprunts aux lourdes mensualités dans l'espoir de bâtir dans la verdure, l'air pur et la paix, un nid pour mes bébés, j'étais révolté d'avoir consenti de tels sacrifices pour un tel résultat. Ainsi devais-je fournir dix-mille heures de travaux personnels à restaurer la maison de mes enfants pour leur faire respirer pendant toute leur enfance les émanations délétères d'un dépôt d'ordures!


Les réactions de l'entourage étaient consternantes de lâcheté "C'est navrant mais qu'est-ce qu'on peut y faire!"... En septembre 1973, une marée noire d'huiles de vidange envahit les blé et betteraves au bas du vallon, presqu'au D47, là ou affleure la nappe aquifère la plus célèbre de la région Nord de Paris la nappe du Soissonnais. Eau sacrée! Eau de Lumière! "Luz aqua"(2) qui, jusqu'à la seconde guerre mondiale, nourrissait le cresson des Halles de Paris dans des fosses creusées par dizaines!


C'est donc la veulerie des responsables
 qui me contraignit, la mort dans l'âme - bien sûr!, "d'aller au charbon" pour faire respecter mon droit, un droit de ma femme et de mes poupons. Droit imprescriptible parce que biologiquement inscrit par le Créateur(4-1)↑  au corps de l'Homme: le Droit à l'Air Pur.


D'une petite association créée en 1970 pour éduquer les enfants d'écoles à l'écologie tout en marchant dans la nature encore très rurale du vallon "S.O.S. Sylvies", ouverte aux adultes qui poussaient à l'action en 1972, je sollicitai du Ministre de la Santé d'alors qu'était Michel Poniatowski son secours; lequel ne tarda pas. "Merci Monsieur le Ministre" disait le tract alors distribué par nos associés dans tout le canton!


Voilà pourquoi j'ai su apprécier l'attitude responsable et courageuse de notre Maire actuelle.(4-2)↑   Etant née au Plessis, ayant vécu en place toutes les évolutions dégradantes de la vallée dans la région la plus convoitée de France, n'ignorant rien de l'inconfort immense de ceux qui protègent la nature, cette personne admirable a cependant choisi cette option.


Par exemple en favorisant, pour hâter la procédure du "classement loi du 2 mai 1930" de ce qui peut rester vert encore dans la vallée, la venue au Plessis d'Anne Boudou, assistante du Ministre de l'Environnement Yves Cochet. Le Plessis reçut alors, pour la seconde fois après Brice Lalonde, la visite d'un Ministre. Et il s'en fallut d'une centaine de voix que notre canton fût représenté au Conseil Général par Anne l'Ecologiste. Laquelle eût bataillé pour nous et pour protéger durablement ce patrimoine de verdure, d'eau pure(4-3)↑  et d'air pur que par devoir nous devons transmettre à nos descendants.


Il est bon que des hommes "entreprennent"
 avec dévouement pour détruire nos ordures en usant de leur liberté. Etait-il cependant légitime que cette liberté d'entreprendre violât notre droit à l'air pur?

Notes section 4:   ( Sauter les notes de section 4 )

 
4-1.-↑ On peut dire, si on veut "par la Nature".

4-2.-↑ C'était Madame Ginette T., qui a témoigné son dévouement au Plessis-les-Vallées jusqu'à quatre_vingts ans passés. Bravo et merci pour cette belle abnégation.

4-3.-↑ Luz Aqua (l'eau claire, lumineuse et pure) = Luzarches (Rat & Baure). Le "Val d'Ysieux", les plus âgés (dix ans à la Libération de Paris) l'ont connu ruisselant des sources des cressonnières….

— 4-4: Nb: (CNRTL): "primer" 2. [Le suj. désigne une chose abstr. ou concr.] a) Primer qqc.; être primé par qqc. L'emporter sur quelque chose : être devancé par quelque chose. Le détail prime le panorama; l'industrie prime l'agriculture; l'intelligence prime le génie. L'effet masculinisant des autosomes primerait l'effet féminisant d'un seul chromosome X, alors qu'il serait primé par celui de deux chromosomes X (Cuénot, J. Rostand, Introd. génét., 1936, p. 40). Cela n'empêchait pas que, par ces voies nouvelles et plus adéquates, la connaissance historique ne primât toujours les autres curiosités (Huyghe, Dialog. avec visible, 1955, p. 419) : 1. Mais ces chances n'infirment guère la préférence à donner en général au gros vaisseau : et elles s'effacent totalement en présence de notre navire; qui prime sans effort les plus fins voiliers...
Maizière, Nouv. archit. nav., 1853, p. 56.

Autosome: subst. masc. Biol. Chromosome qui a pour homologue, dans le sexe opposé, un chromosome morphologiquement semblable (Méd. Biol. t. 1 1970)

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Gérard de Nerval, poète du Valois

Elle a passé, la jeune fille

Vive et preste comme un oiseau:

A la main une fleur qui brille,

À la bouche un refrain nouveau.



C'est peut-être la seule au monde

Dont le cœur au mien répondrait,

Qui venant dans ma nuit profonde

D'un seul regard l'éclaircirait !...



Mais non, - ma jeunesse est finie...

Adieu, doux rayon qui m'as lui,

Parfum, jeune fille, harmonie...

Le bonheur passait, - il a fui !


Gérard de Nerval, Extrait

À voir: une page de poésie militante:

Pour une poésie populaire française

À suivre: "Le Blog de Chris Oïkostome":

"Le Blog de Chris Oïkostome, cliquez ici"

SOS-VAL d'YSIEUX, site en construction; merci d'être patient…

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Lettre ouverte aux habitants de la Communauté de Communes du Pays de France.

Par Mr Jacques Renaud, Maire de Châtenay-en-France,
Président de la Communauté et Vice-Président du PNR (Parc Naturel Régional) Oise-Pays de France.
Nb du Webmaster de ce site: le fait de citer une personnalité politique locale n'implique nullement cette personne dans le reste du contenu de ce site !

	
 Ce que vous devez savoir:… à l’heure où M. D, maire de Luzarches, veut conduire les élus à voter, à marche forcée, la fusion de notre Communauté de communes avec celle de Roissy-Porte de France.


Cette décision, que certains donnent pour imminente et inéluctable, me paraît trop grave pour qu’elle soit prise sans que vous en soyez informés. Il est essentiel que chacun d’entre vous ait conscience qu’il a son mot à dire, et qu’il ait connaissance des conséquences qu’elle aurait sur la gestion communale et sur notre vie si elle était adoptée. (…)


Notre Communauté de communes du Pays de France a été la toute première à se constituer dans le Val d’Oise. Dans les six mois qui ont suivi la promulgation de la loi Joxe en février 1992, ses statuts étaient acceptés par les dix communes qui la composent *: Bellefontaine, Châtenay-en-France, Chaumontel, Epinay-Champlâtreux, Jagny-sous-Bois, Lassy, Le Plessis-Luzarches, Luzarches, Mareil-en-France et Villiers-le-Sec. Depuis, trois autres communautés se sont constituées à côté de nous : celle de l’Aire cantilienne (Chantilly), celle de Carnelle-Pays de France (Viarmes) et celle de Roissy-Porte de France*.Au 1er janvier 2009, 2406 communautés de communes et 174 communautés  d’agglomération regroupaient 34.164 communes. Il ne subsiste que 2522 communes isolées sur les 36.686 communes que compte la France. (...)


La clause de compétence générale est maintenue à la commune. En d’autres termes, la commune reste (théoriquement) la cellule de base de l’administration territoriale, immuable et sacro-sainte depuis deux cents ans et plus. Les structures intercommunales, elles, reçoivent de la part des communes membres des compétences qu’elles exercent définitivement à leur place quand la décision a été votée par le conseil municipal et par le conseil de communauté. Une compétence déléguée est une compétence perdue qui ne sera jamais retrouvée. C’est pourquoi il est important d’être très attentifs à qui on délègue des compétences. Le sort des communes membres d’une intercommunalité dépend évidemment de leur périmètre d’appartenance.


La future loi relative à la modernisation de la démocratie locale (...) renforce le pouvoir des intercommunalités par rapport à celui des communes, afin de rendre les structures intercommunales plus efficaces. Ce renforcement de pouvoir passe notamment par:

• - l’intégration rapide de toutes les communes encore isolées (certaines près de nous : Goussainville, Gonesse, Bonneuil-en-France ; d’autres un peu plus loin, par exemple, Sannois, la commune de notre député)* ;
• - la simplification des procédures de délégation de compétences : aujourd’hui, on ne peut modifier les statuts qu’avec la majorité qualifiée (2/3 des communes représentant la moitié de la population ou la moitié des communes représentant les 2/3 de la population). Demain, seule la majorité absolue du conseil de communauté sera exigée pour décider d’un transfert (donc d’un abandon !) de compétence ; progressivement la coquille de la commune va se vider de la majeure partie de ses compétences. (…)
• - la modification des critères fixant le nombre de représentants et de voix de chaque commune au sein de l’intercommunalité : proportionnelle au nombre d’habitants et limitée en nombre ; dans la Communauté de Roissy, nous n’aurions pas une grande représentativité et nous serions noyés dans la masse;
• - le transfert de la compétence « plan local d’urbanisme » (PLU), c’est-à-dire des décisions concernant l’affectation du foncier et la règle urbaine (les anciens POS « Plans d’Occupation des Sols »), aux communautés comprenant plus de 50.000 habitants. Notre Communauté du Pays de France compte 9500 habitants, chaque commune a donc gardé la maîtrise de son sol ; celle de Roissy-Porte de France, avec ses 18 communes, en compte aujourd’hui près de 55.000. Si nous la rejoignons, elle aura donc de droit la maîtrise des sols de nos communes sans que nous ayons notre mot à dire. Quand Goussainville l’aura rejointe, ce qui est hautement probable dans un avenir proche, elle comptera 85.000 habitants. Elle pourra devenir une communauté d’agglomération. Quand Louvres et Puiseux auront construit 3000 logements nouveaux, projet engagé qui se développe avec l’appui de l’Etat au moyen de l’Etablissement Public d’Aménagement « Plaine de France », la Communauté de Roissy aura accueilli 10.000 habitants supplémentaires.
  

(...) Ce qui est en jeu, c’est notre autonomie, notre ruralité et la maîtrise de nos territoires.(…) »


Nb: C'est nous (webmestre) qui soulignons. Vous pouvez lire la suite de cette lettre aux habitants sur la page "verse et contreverse" du site Internet de la Communauté de communes en cliquant sur le lien suivant:



-  Chargez ici, en format .PDF, le texte de Mr Jacques Renaud



Monsieur Renaud, ( qui ne partage pas forcément les opinions politiques exprimées autre part sur ce site ), dit ailleurs:
« Nous souhaitons rester partenaires, et pas seulement jouer à terme dans une grande Communauté d’agglomération le rôle de figurants le béret à la main, venant dire en réunions : « Bonjour chers collègues, Au revoir chers collègues » . Même si les collègues sont sympa. On ne fabrique pas une structure en fonction des relations amicales du moment, mais en fonction des pertinences territoriales de long terme. »

Cherchez ses allocutions et leurs controverses sur le site de la Communauté de communes du Pays de France:



-  Site de la Communauté de communes du Pays de France


Notes:

Monsieur Renaud ne partage pas les opinions politiques exprimées ailleurs sur ce site. Dans le texte, c'est nous qui soulignons.

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Bientôt banlieusards ?

	
« On entend parler en ce moment, de tous côtés, de l'avenir du Sud de l'Oise, de projet de ville nouvelle, de développement des villes moyennes, de Roissy…(7-1)


Voici les données que vous devez connaître:(7-2) Un document (projet de SDAU) a été élaboré par la Préfecture de la région de l'Ile de France; il indique que.:


- l'Ile de France passerait de 10,6 millions à 12,3 millions dans 25 ans (en 2015) ;

- cette croissance consommerait plus de 2.000 hectares d'espace rural (soit quasiment la superficie de Gouvieux) chaque année.

- le trafic de Roissy serait multiplié par 4 (et donc aussi le nombre d'avions au-dessus de nos têtes) ;

- dans l'Oise, la poussée de Ile de France se traduirait soit par la création d'une ville nouvelle, ce que rejettent la plupart des maires, soit par un développement des villes moyennes. Dans ce sens, un certain nombre de maires de Creil à Compiègne se sont regroupés dans l'association "Oise la Vallée" et parlent d'implanter 40.000 emplois (et par voie de conséquence la population correspondante).



Je tiens à dire mon inquiétude devant tout ceci.


J'ai passé toute ma jeunesse à Levallois-Perret : j'ai vu la région parisienne s'étendre vers l'Ouest, puis vers le Sud de façon anarchique. Je la vois aujourd'hui s'étendre vers l'Est, où fleurissent les chantiers. Et le Nord commence à être touché: autour de Roissy quand nous passons sur l'autoroute, nous voyons sans arrêt de nouveaux bâtiments pousser. En fait, aucun gouvernement n'a jamais essayé de limiter la croissance de la région parisienne(7-3); dans le meilleur des cas, on a cherché à l'organiser. Les pays les plus riches au monde (pays nordiques, Allemagne Fédérale, Suisse) n'ont pourtant pas d'agglomération de cette taille. Et pendant ce temps, une moitié de la France se transforme en désert.


L'espace rural sera-t-il soumis à la spéculation foncière et dévoré par les constructions?

Peut-on croire que le développement annoncé sera proche des hommes et de la nature?

Sachez que le simple maintien de la population consomme déjà beaucoup d'espace au sol: ainsi de 1982 à 1989, la population de la ville de Senlis est restée absolument stable à 15.000 habitants, alors que, pourtant, 1040 permis de construire ont été délivrés. Ceci s'explique par la diminution du nombre d'habitants par logement, en particulier à cause du départ des grands enfants.


La croissance de la région parisienne permettra certes d'accueillir des emplois. Mais cette politique se heurte à des obstacles. A Gouvieux par exemple, nous avons un déficit théorique d'emplois important, puisque nous n'avons que 2800 emplois, alors que pour 10.000 habitants il en faudrait 4500. Et pourtant, le taux de chômage des habitants de Gouvieux est faible (ce qui est heureux), puisque inférieur à 4 % soit moins de la moitié du taux national. Nos habitants, en effet, ont des emplois à l'extérieur, en particulier à Paris.


Bien entendu, si l'on fait venir des entreprises, on souhaitera qu'elles emploient des habitants locaux. Mais ceci est difficile car le taux d'agents de maîtrise et de cadres de notre population est assez élevé. Si les entreprises recrutent au loin, les travailleurs venant de l'extérieur demanderont ensuite à être logés sur place. Toute politique d'implantation d'entreprises doit donc être extrêmement prudente: il ne faut surtout pas se lancer dans une chasse inconsidérée à la taxe professionnelle.

Il faut aussi évoquer le problème des équipements publics; l'autoroute A1 sera, d'après la SANEF, saturée dans 10 ans. Le trafic ferroviaire augmente de 5 % par an et est quasi-saturé (d'où les retards continuels, les problèmes de stationnement ...). La gare du Nord est d'ores et déjà la 3ème gare au monde par son importance.


La RN16 qui traverse Chantilly et Lamorlaye est la première route de l'Oise par sa circulation et le CD 909 qui traverse Gouvieux est la quatrième; mais on ne parle de la réalisation du RD200 (voie industrielle Creil-Cergy) que pour l'an 2 000, et l'on évoque pas de date pour le contournement complet de l'agglomération de Chantilly.


Enfin, on sait le temps qu'il a fallu pour construire un collège à Lamorlaye, ainsi que les sommes que la région Picardie a dû dépenser pour commencer la rénovation des lycées.


Il faut donc que ces problèmes soient réglés avant tout projet de développement. Et si, ensuite, certains veulent développer leur commune, ils devront dire comment seront financées les infrastructures supplémentaires nécessaires (routières, ferroviaires, scolaires, en matière d'assainissement …).


Compte-tenu de ce qui précède, je plaide pour que soient protégés réellement le Sud de l'Oise et le Nord du Val d'Oise (c'est-à-dire la plaine de France depuis Ecouen) et qu'on n'y accepte donc qu'une urbanisation modeste en quantité et sélective en qualité. Ceci suppose évidemment que soit freiné le développement de Roissy.


C'est bien entendu notre intérêt.


Mais c'est aussi l'intérêt de la région parisienne de conserver la dernière campagne qui subsiste dans sa proximité immédiate (Ecouen est à 15km du boulevard périphérique), ne serait-ce que pour garder des paysages ruraux accessibles et pour limiter la pollution atmosphérique.


Ce peut être, enfin, l'espoir de la Picardie que, grâce à une politique d'aménagement incitative, le développement freiné aux abords de la région parisienne soit reporté vers des zones plus nécessiteuses en termes d'emplois comme le Nord de l'Oise ou la Somme.


Il me paraît du devoir de chaque citoyen de réfléchir maintenant à l'avenir qu'il souhaite pour sa région, à moyen et long terme. Si les quelques idées que j'ai développées vous font réagir, je serai heureux de lire vos réflexions.


Note de l'éditeur du site: Non! Ce n'est pas moi qui vous dis tout ça. C'est un Monsieur qui occupe un poste éminent et tellement utile à nos enfants, à nos générations futures: le poste de Président du PNR (Parc Naturel Régional) Oise-Pays de France qui englobe le Val d'Ysieux. Les Écologistes remercient ici par ma voix ceux des Élus locaux qui se dévouent pour la sauvegarde des quelques pastilles de verdures qui subsistent dans notre région, au milieu des cacas de bêton (ma foi, mon Dieu, le bêton, comme c'est bête... ici). Merci pour nos descendants.

Bref, c'est signé:


 Mr Patrice MARCHAND, Conseiller Général de l'Oise, Maire de Gouvieux et Président du Parc Naturel Régional Oise-Pays de France (B.P. 33 - 60270 GOUVIEUX).(7-6)
 


Note de l'éditeur du site: De plus, comme le Parc Naturel Régional Oise-Pays de France reste, pour beaucoup d'entre vous, un sujet lointain et abstrait, j'ai souhaité vous montrer un document de travail qui esquisse l'ampleur de ce travail que l'instance réalise pour le bonheur futur de votre progéniture, rappelant, au passage, l'active participation de la Mairie du Plessis-Luzarches ainsi que celle des Amis de la Terre du Val d'Ysieux. Voyez la note (7-4)  ou téléchargez le .PDF ci-dessous:


Cliquez ici: Importer la lettre du Parc du 24 octobre 2007


Consulter la liste des Communes du Parc lors de son origine. Attention, pendant que d'aucuns se battent, dans les mairies, pour défendre l'environnement des futures générations, les défécateurs de lotissements des lisières de nos forêts sortent leur commune du parc pour avoir les "mains libres"… Pour ramasser…(7-5) 

Notes section 7:   ( Sauter les notes de section 7 )

 
7-1.-↑ J'ai pu me procurer ces documents grâce au droit d'accès aux documents administratifs; je remercie la Mairie du Plessis Luzarches de m'avoir fait bénéficier de cette loi si précieuse aux Citoyens.

7-2.-↑ Il va de soi que, le fait que je cite un texte du Président du PNR Oise-Pays de France, Monsieur Marchand n'implique pas qu'il partage les opinions politiques exprimées ailleurs sur ce site. De plus, dans le texte, c'est nous qui soulignons.

7-3.-↑ Note de l'éditeur du site: Gaffe ! Cette lettre date de 2007. Or, j'entends des marsipulamis sautillants parler depuis d'un "Grand Paris" mégalomaniaque qui en dit long sur la façon dont les grands de ce monde satisfont leur ego...

7-4.-↑ Lettre du Président du Parc Naturel Régional Oise Pays de France:

Orry la Ville, le 24 octobre 2007

Madame le Maire, (extraits)

La réunion du Comité de pilotage relatif à la présentation de la phase 3 - Plan d'actions, du Plan de Paysage de la vallée de l'Ysieux et du marais du Lys-, s'est tenue le lundi 15 octobre 2007 à la Maison du Parc à Orry-la-Ville. (...).

Pour valoriser le paysage de la vallée de l'Ysieux et du marais du Lys, le bureau d'études Hortésie, représenté par Sonia LAAGE et Antoine BOZEC, propose des actions détaillées par commune, selon 5 axes:
- maîtriser les contours de la vallée,

- préserver / retrouver les continuités paysagères,

- maîtriser l'étalement urbain,

- élaborer un projet de mise en valeur patrimoniale du paysage de la vallée,

- Ysieux, axe de vie de la vallée.

Je joins à ce courrier la dernière version de la phase 3 en version numérique (format PDF) et les pages concernant votre commune en version papier pour vous en faciliter la lecture.

Le Plan de Paysage touche à sa fin, si vous souhaitez apporter votre contribution, vos remarques, sur les propositions faites, je vous invite à me le faire savoir par courrier (...).

Par ailleurs, Madame LAAGE prendra contact avec vous par téléphone pour recueillir vos réactions ou suggestions.

Mais le Plan de Paysage ne s'arrêtera pas là. Il conviendra de travailler à sa mise en œuvre.

J'espère que cette étude. vous aidera à formuler des projets pour votre commune, et qu'elle aboutira à des réalisations concrètes. Je vous invite pour cela à me faire part de vos attentes (ouverture d'un chemin, plantations de haies, bosquets, alignements d'arbres, mise en valeur de points de vue, etc...).

En vous remerciant par avance pour votre contribution,  je vous prie d'agréer. Madame le Maire. l'expression de mes sentiments distingués.  Le Président, Patrice MARCHAND Conseiller Général de l'Oise, Maire de Gouvieux

7-5.-↑ Liste des communes du Parc Oise Pays de France: correspond à DVD de la Société Hortésie d'Octobre 2007; documents superbe à consulter dans les Mairies.

Apremont, Asnières-sur-Oise, Aumont-en-Halatte, Avilly-Saint-Léonard, Barbery, Baron, Beaurepaire, Bellefontaine ,Boran-sur-Oise, Borest, Brasseuse, Chamant, Chantilly, Châtenay-en-France, Chaumontel, Courteuil ,Coye-la-Forêt, Creil, Epinay-Champlâtreux, Ermenonville, Fleurines, Fontaine-Chaalis, Fosses, Gouvieux, Jagny-sous-Bois, La Chapelle-en-Serval, Lamorlaye, Lassy, Le Plessis-Luzarches, Luzarches, Mareil-en-France, Mont-l'Evêque, Montagny-Sainte-Félicité, Montépilloy, Montlognon, Mortefontaine, Ognon, Orry-la-Ville, Plailly, Pont-Sainte-Maxence, Pontarmé, Pontpoint, Précy-sur-Oise, Raray, Rhuis, Roberval, Rully, Saint-Maximin, Senlis, Seugy, Survilliers, Thiers-sur-Thève, Verneuil-en-Halatte, Ver-sur-Launette, Viarmes, Villeneuve-sur-Verberie, Villiers-Saint-Frambourg, Villiers-le-Sec, Vineuil-Saint-Firmin.

7-6.-↑ Il va de soi que, le fait que je cite un texte du Président du PNR Oise-Pays de France, MoPar ailleurs, dans le texte, c'est moi qui "souligne".

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